MALIKA ZARRA
“Malika Zarra’s music traverses her Moroccan heritage as well as her cosmopolitan life as a musician in Paris and New York. She brings a personal vision that crosses musical borders with talent and charisma.”
— Bill Bragin, The Arts Center at NYU Abu Dhabi
BIO
Malika Zarra, auteur-compositeur, interprète, nominee aux Grammy Awards est une artiste engagée, ayant sa propre couleur musicale. Née dans le sud Marocain, elle grandit en France. D’abord clarinettiste, elle prend rapidement des cours au conservatoire et s’oriente vers le Jazz. La liberté qu’elle y trouve l’encourage à créer et écrire ses propres musiques. Ses influences éclectiques tels Hajja Hamdaouia, Asmahan, Ella Fitzgerald, Bobby McFerrin, Thelonious Monk, Stevie Wonder ou Aretha Franklin l’inspire. Elle y puise librement les différentes sonorités, elle alterne tantôt les langues berbere, darija dialecte marocain), français ou anglais.
Malika Zarra s’installe onze ans à New-York, ou elle s’impose très rapidement dans le milieu du Jazz et de la World Music. Elle collabore avec plusieurs artistes américains comme John Zorn, Arturo O'Farrill & the Afro Latin Jazz Orchestra, Aruan Ortiz, Tommy Campbell (Dizzy Gillespie), Will Calhoun (Living Color), Lonnie Plaxico (Cassandra Wilson), Michael Cain (Jack Dejohnette), Brad Jones (Ornette Coleman), Jacques Schwarz-Bart (Roy Hargrove), Gretchen Parlato, Jowee Omicil, Arnaud Dolmen, Yazz Ahmed. Sa vie musicale à New-York est une étape décisive dans sa carrière. La liberté de création musicale qu’elle recherche depuis longtemps trouve son écho. De là, va naître une nouvelle source d’inspiration qui ne la quittera plus..
C’est aussi à New York qu’elle enregistre son premier album : « On The Ebony Road» (2006) en autoproduction. En 2011 elle enregistre “Berber taxi” pour le label Motema Records (Gregory Porter, Randy Weston, Gerri Allen, Terri Lyne Carrington...) Au-delà de son style original, sa musique s’oppose fermement aux délimitations des espaces, à l’uniformisation des hommes. L’être qu’elle décrit à travers ces textes est un voyageur, un nomade qui nous amène à rechercher au fond de nous-mêmes le cœur des autres. Les cultures aussi multiples que les hommes sont pour elle des forces puissantes et servent à révéler la richesse des hommes.
PRESS
Malika Zarra Choisit d’y voir les fleurs jolie qui y fleurirent dans la pénombre; jazz, rock, blues. RWA abolit les frontières, s’indigne devant l’ignominie et invite tout auditeur à penser le monde en C.O.L.L.E.C.T.I.F. Tout est dans le titre : imaginer RWA comme essence ou quintessence ? - Rolling Stone
Malika Zarra a puisé un peu partout “l’essence” de sa musique multicolore. Le jazz y est omniprésent, porté par un orchestre cosmopolite. Mais la soul vient s’y
faufiler tout comme les youyous et les rythmes d’une Afrique sans frontières.
Sans succomber à la facilité, la diva berbere surprend -et séduit- par son
aisance mélodique et la richesse de l’environnement sonore qui l’entoure. Un
disque universel et essentiel !
- L'Alsace
Voilà un opus de musique du monde qui va vous toucher au cœur. Un opus qui
est une invitation à réfléchir sereinement, à penser solidaire, à jouer collectif et à
s’ancrer dans les racines musicales des Afriques continentales et ultramarines
- Paris Move
La chanteuse marocaine a fait du monde sa partition. Son album Rwa(the essence) témoigne de son parcours de sa terre natale à New York,en passant par l’Europe. Sa voix suave et intense module ses nuances
au rythme d’un jazz tressé de sonorités mandingues, sahariennes et gnawas.”
- Le Courrier De L'Atlas
“Morocco's Jazz Jewel. Singing in Berber, Moroccan Arabic, English and French [Malika Zarra] is redefining the term fusion and adding her unique sound to the world”
- CNN International “African Voices”
"Throughout the evening, the cadences of Arabic and Berber dialects sat easily within the sophisticated arrangements, as did the modalities of the melodies. By the end of her set, the audience was thoroughly entranced."
- Michael Shapiro, Huffington Post
"Blending the warmth of American soul music with tricky North African rhythms, intricately yet tersely arranged, jazz-inflected melodies and lyrics in Berber, Arabic, French and English, Zarra has carved out a niche for herself which manages to be completely unique yet very accessible." - Ludic Culture
“Through the beauty of her voice and the magic of her compositions Malika Zarra reminds us of the musical diversity of our ancestral homeland, Africa. Close your eyes and listen.” - Randy Weston
“Zarra’s timing is sharp, her command irrefutable and her instincts, among them
the knowledge of when to lie back,
the mark of a leader."
- Jeff Tamarkin, Jazz Times
"Zarra crosses musical, cultural, and linguistic boundaries with ease, creating a delicious sound centered in but not bounded by her ethnicity." - Soundroots
"Boldly experimental, bringing in Berber chanting, dark North African harmonies, and a wholly original sensibility."
- Afropop Worldwide
"RWA(THE ESSENCE)"
" RWA" (The Essence) s'enracine en Afrique, en Europe et en Amérique. Formant ainsi la figure géométrique emblématique, rappelant le fameux commerce triangulaire qui saigna le continent africain pendant des siècles. Mais de la rencontre forcée de l'Afrique et de l'Europe dans les plantations américaines, naquit une myriade de musiques populaires: le Blues, le Jazz, le Rock’n Roll et j'en passe… C'est ce même voyage triangulaire qu'effectue Malika Zara pour sculpter "RWA" qu'on pourrait traduire par Essence, Quintessence...
Un proverbe populaire d'Afrique Subsaharienne dit ceci : “...Le vieillard qui n'a vécut que dans son seul village, n'a qu’une intelligence. Mais le jeune qui a parcourut dix villages, s’enrichit de dix intelligences…" ‘’ RWA’’ épouse totalement cette sagesse africaine. Et si Malika décide de mijoter cet album à la fois sur les terres d’Afrique, d’Europe et d’Amérique, c’est non seulement pour s’enrichir d’intelligences diverses mais aussi pour rendre hommage à toutes ces personnes d’ici et de là-bas qui contribuèrent à faire d’elle ce qu’elle est devenue aujourd’hui…
La musique et la danse étaient omniprésentes dans la maison familiale de son petit village natal de Ouled Teima au Maroc. Quand sa famille s’installe en région parisienne, elle se retrouve à cheval sur deux cultures différentes.
A l'école, elle devait être française et à la maison, demeurer berbère marocaine. On s’autorise alors à affirmer que ce mouvement familial serait le catalyseur de son ouverture culturelle et de sa quête de l’ailleurs.
Si «RWA» s’inscrit dans la continuité de ces précédentes œuvres, ce dernier album fait un pas de côté par la diversité des contributeurs et se singularise par les thématiques qui questionnent sur les délires de notre monde, notamment les frontières érigées pour freiner le mouvement perpétuel de l’humain depuis la nuit des temps. Dixit «Feen» ou Malika s’en indigne formellement «Les frontières.... D’un cote la mer et de l’autre le désert. Je vis comme sur une île aux frontières fermées. Je suis comme une lettre qu’on doit a tout prix tamponner. Mais à qui j’appartiens ?» «RWA» se distingue également par quelques titres comme «La !» - (Non ! I want !), reçut comme une injonction à opposer son indignation devant l’ignominie. On se doit de dire non, ça suffit ! Dans «Ouhelt» (Enlisée - Stuck), Malika exhorte à la bienveillance vis à vis de personne oppressée tourmentée, déchirée, se sentant « coincée » dans
une situation.
L’ensemble de l’album embarque l’auditeur dans un perpétuel mouvement. «Dreamer» ? Un swing chaloupé, enveloppé de cuivres psychédéliques. Le tout porté par une voix de soul singer que seuls les crooners de Biguine sensuelle détiennent la formule... Les Karkabous, le bendir ou les youyous dans «Zrigh» incarnent l’accent Bèrbère ou Gnawa, soutenus par une basse affirmée et une discrète envolée de guitare façon «Bikutsi» camerounais. «Yallah Tnam Rima», co-arrangé par Malika et le bassiste sénégalais Alune est certainement la pièce la plus jazzy de l’album. Introduit par un piano classique, elle s’agrémente de couleur mandingue porté par la voix de la malienne Mamani Keïta. Cette berceuse -la seule reprise de l’album- est une composition de Mansour El Rahbani · Assi Rahbani pour Fairuz la diva libanaise.
Certains textes de «RWA» s’écrivent parfois à quatre mains, notamment avec Touda Bouanani, Hafsa Bekri-Lermani ou Jean-Luc Raharimanana.
Le pilotage du navire «RWA», Malika Zara l’a effectué avec la complicité bienveillante d’Alune Wade tant au niveau des arrangements qu’à celui de la réalisation de l’ensemble de l’oeuvre. Bref ! Le Chapelet des neuf compositions de «RWA» est une invitation à réfléchir sereinement, à penser solidaire, à jouer collectif et à s’ancrer dans les racines musicales des Afriques continentales et celles ultramarines...
DISCOGRAPHY
COLLABORATIONS
PERFORMANCE
HIGHLIGHTS
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Carnegie Hall (NYC) - Opened for Bobby McFerrin
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The Opera House - Lincoln Center (NYC)
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The Apollo Theater (NYC)
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London Jazz Festival (UK)
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Montreal Jazz Festival (Canada)
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International Black Arts Festival (Senegal)
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Teatro Colsubsidio Bogota (Colombia),
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Teatro Ateneo (Panama)
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Chicago World Music Festival
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Festival du Monde Arabe Montreal (Canada)
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Salzburg Jazz Festival (Austria)
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Festival Nuits d’Afrique Montreal (Canada)
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Toronto Festival (Canada)
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Blue Note Jazz Festival (NYC)
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Banlieues Blues Festival, (France)
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Salzburg Jazz Festival (Austria)
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Vienna Konzerthaus (Austria)
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Timitar Festival (Morocco)
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Duke Ellington Jazz Festival (DC)
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Kennedy Center (DC)
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Brooklyn Maqam festival (NYC)
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The Blue Note (NYC)
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The Jazz Standard (NYC),
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North Sea Jazz Club Amsterdam (Netherlands)
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Divadlo U Hasičů Prague (Czech Republic)
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Chorus Jazz Club, Lausane (Switzerland)
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Africa Festival Wurzburg (Germany)
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Joe's Pub (NYC),
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Sob's (Opened for Sara Tavares) (NYC)
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Smoke Jazz Club (NYC)
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Brooklyn Academy of Music (NYC)
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NYC Winter Jazzfest
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Birdland Jazz club, (NYC)
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Outpost Performance Space (New Mexico)
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Baruch Performing Arts Center (NYC)
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Brussels-Flagey (BE)
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Antwerpen De Roma (BE)
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Gent Muziekcentrum De Bijloke (BE)
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Den Bosch-November Music (NL)
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Arnhem-Music & Stadstheater (NL)
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Amsterdam-Muziekgebouw (NL)
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Eindhoven-Muziekgebouw (NL)
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MYCALE
John Zorn
AFTERMATH
SLY REIMAGINED
Amy Lee Aftermath is the soundtrack for Mark Jackson's film War Story, "Dark Water" features
Malika Zarra
UNDIVIDED
DE TIERRA Y ORO
Morley
Sofia Rei
WORLD SONGS
JE SAIS NAGER
BROOKLYN
CONNECTION
Jay Rodriguez